Éméraldia, Bijou du Sud
Au sud de l’Union, derrière une chaîne de montagnes, se trouve un pays chaud bordé par la mer. Climat « méditerranéen », champs d’olives, production de vin, plages, architecture baroque... La vie est belle à Émeraldia.
Dirigeante : Reine Antoinette Mibourg.
Langue nationale : L’éméraldien. Des langues régionales, moins utilisées, existent encore : le mimeccien et le camagnais.
Religion : Population fortement croyante, améliste.
Histoire
Éméraldia est constituée d’une côte liée au continent et de deux îles voisines. C’était, jusqu’au 12ème siècle, trois territoires distincts : Folure, Mimecci et Camagne. De façon similaire à l’Union de la Couronne, c’est la naissance d’une héritière assez légitime pour diriger les trois trônes qui conduisit à la fondation d’Éméraldia, en 1115 (calendrier améliste).
Historiquement alliés, bons partenaires commerciaux et ne souhaitant pas de conflit pouvant fragiliser leurs pays, il fut décidé de procéder à un référendum pour déterminer si, oui ou non, Mélanie Vourguon allait accéder au pouvoir. 74 % de oui, 26 % de non : Éméraldia est née. Madame Vourguon étant née à Folure, elle influença la nation à adopter une langue commune fortement inspirée du folurien : l’éméraldien.
Proche de la mer, le pays a eu l’occasion de beaucoup investir dans la marine, dans l’exploration maritime. Ce sont eux qui sont responsables de la découverte de M’Bierra ou d’îles désertes en tous genres, riches en ressources.
Aujourd’hui, Éméraldia se porte toujours bien. Partenaire commercial apprécié du continent pour ses ressources, la région continue à se développer, à gagner en richesses, à financer ses artistes. Économiquement et culturellement, Éméraldia n’est pas à plaindre. Socialement, on note un nationalisme mimeccien un poil plus élevé qu’ailleurs dans le pays et, au même endroit, l’évolution d’une mafia. De façon générale, le pouvoir en place est apprécié.
Politique
Ouverte au monde, ayant une volonté de continuer à se développer en se faisant des alliés économiques, Éméraldia reste un pays où il fait bon vivre, qu’importe d’où on vient. Ni trop traditionaliste ni trop progressiste, Antoinette Mibourg, reine du royaume, est une centriste cherchant à se faire aimer de son peuple ; peuple dont les travailleurs sont légèrement mieux payés que chez leurs voisins de l’Union.