M’Bierra, l’Ile Équatoriale
M’Bierra est une grande île mi-tropicale, mi-aride. Ses savanes sèches du nord transitionnent progressivement, lorsqu’on s’approche du sud, vers des savanes boisées, vertes, semblables à des jungles, jusqu’à arriver à des palmiers, des cocotiers, de belles plages de sable blanc.
Dirigeant : Président Robert Mabuza
Langue nationale : Créole aux influences éméraldiennes. Beaucoup de dialectes locaux existent.
Histoire
Il est difficile de retracer l’histoire de M’Bierra car ses habitants ont longtemps pratiqué la tradition orale ; les écrits du passé sont quasiment inexistants. On sait que l’ile était composée d’un grand nombre de peuples parfois en guerre, parfois en paix, qui vivaient dans la simplicité. C’est la découverte de M’Bierra en 1304 (calendrier améliste) par Martin Rougier, capitaine émeraldien, qui changera considérablement la vie du territoire. Après des années de rapprochements, d’échanges culturels, il fut offert au chef de l’île de commercer avec le continent ; M’Bierra possédant énormément de ressources rares, précieuses, et peu de moyens de les exploiter.
C’est ce commerce qui influencera l’ile, au fil des siècles, à adopter un créole commun facilitant la communication avec les autres civilisations. M’Bierra, pour ne pas se faire dévorer par ce monde si développé, va connaitre des évolutions majeures, créer des institutions politiques ou économiques inspirées du continent pour faire jeu égal. À titre d'exemple, M'Bierra n'a plus un chef mais un président.
Religion
Sur cette île, on croit majoritairement en « Le Grand Être », une force supérieure, divine, ayant créé le monde et ses habitants avant de disparaître. Les restes de sa force, selon ces croyances, seraient omniprésents et chaque rituel, chaque fête religieuse, a pour but de se rapprocher des restes spirituels du Grand Être. C’est la religion « vodoum ».
L’amélisme, bien que minoritaire, y est présent. C’est par ailleurs le populaire calendrier améliste qu’on a fini par adopter ici.
Politique
Sur le plan économique, M’Bierra est protectionniste. Il y a une conscience de la préciosité des ressources, de l’importance de l’île pour le commerce international, et une volonté d’être en plein contrôle du transit desdites ressources.
Parallèlement, l’île est ouverte au monde. Les étrangers sont bien accueillis et on est fiers de leur faire découvrir la culture locale.